« Si la phrase n’avait été prononcée en d’autres lieux et par un homme exceptionnel (..) j’oserais dire : j’ai fait un rêve. Celui de voir les arènes d’Arles revivre de grands événements sportifs. De palpiter. De redevenir un cœur battant.L’organisation du Championnat de France de Beachvolley qui se tiendra du 25 au 27 juin 2021 et dont la finale sera dans nos arènes, va animer formidablement la ville, avec des ateliers et des entrainements dans différents lieux, comme à la Croisière. Il va proposer aussi, parce qu’Arles a un front littoral, au village de Salin, sur la Méditerranée, des initiations pour nos jeunes (..). C’est-à dire que c’est toute la Ville qui va vivre à ce rythme et nous le devons à la ténacité d’Alain Aria, président de la Ligue PACA, la confiance d’Eric Tanguy, président de la fédération Française de Volleyball, et je crois à l’excellent travail du Volley Club Arlésien. Je remercie aussi, le Conseil départemental, la Région, les partenaires privés et les bénévoles de leur soutien dans leur désir de soutenir notre ville et le sport.

Nous connaissons les valeurs du sport et c’est ce que nous voulons proposer à nos jeunes : ces valeurs et surtout, des formations de qualité (..) Je citerai, parce qu’on est, avec la présence d’Hervé Liberman, président du Comité régional Olympique, dans l’actualité, cette phrase de Pierre de Coubertin : Le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre. C’est une devise ».